Alors que les prix de l’immobilier et le nombre de sans-abri ne cessent de croître dans les grandes métropoles et que les ménages, en particulier les plus modestes, consacrent une part croissante de leurs revenus à se loger – une décision dans un domaine tel que celui du logement peut avoir un impact considérable sur notre quotidien. A fortiori, comme le souligne Leilani Farha, ancienne Rapporteuse spéciale pour le droit au logement* dans cette interview avec le Service de l'information de l'ONU à Genève, maintenant que « rester à la maison » est devenu la prescription courante utilisée par les gouvernements pour conjurer la pandémie de COVID.
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